Depuis que je suis arrivée, j'ai perdu toute notion de temps. Pour commencer, il fait aussi chaud qu'au plus chaud de l'été en Normandie (chacun ses références climatiques), ensuite, avec trois jours de cours par semaine, la consultation de l'agenda n'est plus aussi indispensable, et pour finir, je me fous pas mal de l'heure qu'il est, temps que c'est celle de manger.
Je vais faire un effort... Nous sommes donc (ici à Guadalajara) dimanche 14 février, il est exactement 22h34 et je viens de dîner.
En cette absence de tout repère temporel, j'ai l'impression étrange que je viens de rentrer d'un voyage très long, bien que celui-ci soit passé pourtant très vite. Allez comprendre la complexité de l'âme humaine... ou peut-être uniquement de la mienne.
Petit séjour très sympa, il faut toutefois l'avouer. En bref, Zacatecas est une ville magnifique et à taille humaine (j'entends ici une population de 108 000 habitants), intimiste quoi. En fait, les villes mexicaines (que j'ai vues) sont vraiment très contrastées et je suppose que c'est quelque chose que l'on doit retrouver dans plusieurs endroits de l'Amérique latine : elles sont à la fois très colorées, très vivantes etc. mais on ne peut pas dire que tout soit splendide. Disons que pour atteindre la jolie maison jaune, il faudra parfois se frayer un chemin parmi une jolie collection de détritus exposée dans le "jardin".
Il y a avait quelques trucs marrants au programme : un téléphérique, une soirée (hum, arrosée) dans une boîte située à l'intérieur d'une mine, assez fascinant...
L'on a également pu constater la niaiserie mexicaine à travers les diverses conneries et horreurs qui se vendent, s'achètent et s'offrent malheureusement à la St Valentin. Dieu merci, les Mexicains me trouvent moche, j'ai donc été épargné.
En revanche, j'ai ramené un petit souvenir très sympa du voyage... depuis le temps que je l'attendais... J'ai nommé la grande, l'éternelle, l'unique tourista (nous préférerons ici l'utilisation du terme toxi-infection). Pas facile à vivre en pleine visite des ruines. Petit flashback sur Carthage. Je vis donc actuellement un petit passage à vide, héhé.
Cela dit, à part ça, tout va bien, nous sommes à peine rentrées que les projets fleurissent déjà.
Le déménagement est pour bientôt.
Hasta pronto.
Eléonore
Je vais faire un effort... Nous sommes donc (ici à Guadalajara) dimanche 14 février, il est exactement 22h34 et je viens de dîner.
En cette absence de tout repère temporel, j'ai l'impression étrange que je viens de rentrer d'un voyage très long, bien que celui-ci soit passé pourtant très vite. Allez comprendre la complexité de l'âme humaine... ou peut-être uniquement de la mienne.
Petit séjour très sympa, il faut toutefois l'avouer. En bref, Zacatecas est une ville magnifique et à taille humaine (j'entends ici une population de 108 000 habitants), intimiste quoi. En fait, les villes mexicaines (que j'ai vues) sont vraiment très contrastées et je suppose que c'est quelque chose que l'on doit retrouver dans plusieurs endroits de l'Amérique latine : elles sont à la fois très colorées, très vivantes etc. mais on ne peut pas dire que tout soit splendide. Disons que pour atteindre la jolie maison jaune, il faudra parfois se frayer un chemin parmi une jolie collection de détritus exposée dans le "jardin".
Il y a avait quelques trucs marrants au programme : un téléphérique, une soirée (hum, arrosée) dans une boîte située à l'intérieur d'une mine, assez fascinant...
L'on a également pu constater la niaiserie mexicaine à travers les diverses conneries et horreurs qui se vendent, s'achètent et s'offrent malheureusement à la St Valentin. Dieu merci, les Mexicains me trouvent moche, j'ai donc été épargné.
En revanche, j'ai ramené un petit souvenir très sympa du voyage... depuis le temps que je l'attendais... J'ai nommé la grande, l'éternelle, l'unique tourista (nous préférerons ici l'utilisation du terme toxi-infection). Pas facile à vivre en pleine visite des ruines. Petit flashback sur Carthage. Je vis donc actuellement un petit passage à vide, héhé.
Cela dit, à part ça, tout va bien, nous sommes à peine rentrées que les projets fleurissent déjà.
Le déménagement est pour bientôt.
Hasta pronto.
Eléonore
