dimanche 13 juin 2010

Cuba: Dia 2 Vive la Habana

08/06/2010

Avons pris le petit dej' à l'appart'. Dans le "livre d'or" de la chambre, les vingt derniers résidents (à peu près) ont remercié la proprio pour sa chaleur et ses récits passionnants sur la vie cubaine. Mouais. Elle est vraiment gentille, mais on ne peut pas dire qu'avec nous elle soit débordante de paroles. Le mec à qui in a fait la réservation nous a appelées pour savoir si tout allait bien. Merci Leo, très aimable à toi.

D'ailleurs, on ne sait jamais, je poste le lien de la casa particular...


EN vérité, les gens ici sont d'une gentillesse incroyable. Bon, ça n'empêche pas les mecs de nous siffler à tous les coins de rue à coup de "hey bébi, bioutéfoul, lov you", mais ils sont gentils. Je les trouve aussi plus beaux que les Mexicains... bon, ça dépend desquels évidemment...

Reprenons l'épisode chaleur: c'est horrible, on crève. D'ailleurs, nous venons de passer une heure à étouffer en pensant que la clim' ne marchait plus. Erreur ! Nous sommes juste abruties. Bref, c'est atroce. Toute sensation de froid nous est désormais complètement étrangère. Avons donc marché (survécu) jusqu'à un château / forteresse, "el Castillo de la punta" en restauration (le premier d'une longue série) où un mec très gentil -mais au passé acnéique évident- nous a fait faire une visite (vraiment cool) de ce qu'il y avait à voir. Nous avons ensuite rampé le long du Malecon (bord de mer) jusqu'à un autre château (Castillo de la Real Fuerza) super intéressant. Notre guide (femme) nous a gentiment demandé un pourboire et... du savon, du parfum, de la crème, etc.
Ils manquent vraiment de tout ici, vive la révolution...

Avons de nouveau rampé jusqu'à un marché d'artisanat local (piège à cons) où je n'ai acheté de cadeau pour personne (estimez-vous heureux), juste l'élément indispensable du séjour : un éventail (que l'on m'a d'ailleurs piqué sur la plage de Varadero...).

Avons ensuite été jusqu'au musée de la révolution. Franchement, on nous avait dit qu'il fallait absolument y aller mais à part avoir vu le slip que Castro portait le 7 juin 1957, vraiment c'est pas terrible. Mal expliqué et tellement propagandiste. Je réprimais mon envie de rire. Non, en fait non. Le bâtiment en lui-même est vraiment beau, en revanche.
Avons ensuite été boire un daiquiri et dîner à la Floridita, un des bars favoris d'Hemingway où trône d'ailleurs sa statue, accoudée au bar. Bon, ensuite, une glace et au lit. Enfin presque... si ce put*** d'air conditionné veut bien faire descendre la température à 48°C...

A toute !

(et non, on n'a pas dansé la salsa)