Aujourd'hui, super beau temps. Le soleil est revenu en force, presque comme en mai. Sommes allés chez Victor, avons glandé et sommes ensuite allés nous balader dans le centre de Guada. C'est marrant comme en vivant dans une ville, on en oublié certains aspects. Par exemple, Victor était presque surpris de voir autant de monde (bizarre) et de découvrir certains magasins dont il ne soupçonnait même pas l'existence.
En avons profité pour aller faire quelques courses en prévision de la carne asada de demain. Pour eux, c'est tout un rituel. Il faut tout prévoir et tout choisir à la perfection. Un peu comme le choix du melon sur le marché...
Sommes ensuite rentrés à la maison pour repartir quelques minutes plus tard pour Tlaquepaque. Composition de la mauvaise troupe : Antonio (nouveau coloc'), Melisa (une fille qu'il essaie de se faire, pardon, de séduire), Susana (on ne sait décidément pas quand elle part), Emma, Becca (toujours sa sœur), Victor et moi (dans le coffre et le cul dans la lessive à l'aller). Nous sommes retournés dans un restaurant sympa où nous étions déjà allés dîner avec Marine et Daniel (le frère de Carlos, ça fait très feux de l'amour à la mexicaine hein ?). C'est un endroit très typique où ils ne servent que quelques spécialités très bien préparées. Comme il se doit : pozole.
Le serveur était complètement bourré et le perroquet m'a dit "hola". J'estime que c'est une bonne soirée.
Sommes ensuit allés aux tacos où travaille Carlos car c'était une soirée musique. Le groupe : 2 mecs et une nana, tous frères je crois. Age : de 7 à 14 ans il me semble. Assez étrange je dois dire. Enfin, nous n'avons entendu qu'une chanson. Un peu du genre percussions de rue, enfin, ça avait le mérite d'être original.
Re mouvement vers Estacion Central, un pub sympa : blindé. Pas grave, évidemment, tout le monde se connaissait, les salutations ont duré des heures, les discussions ont duré des heures, les adieux évidemment ont duré des heures.
(il est 2:30, je crois que quelqu'un nettoie les vitres)
Putain il est 2:30 du matin et ils sont partis racheter de quoi boire. Quels pochtrons franchement.
Il est 2:30 et je crois qu'il est temps que j'aille dormir.
Ah, après toute chose, ils m'ont enfin donné le thème de mon prochain article : un recueil de poème introuvable sur lequel je ne sais rien et dont l'auteur(e) a un prénom à coucher dehors : Xitlalitl. Je dois le rendre lundi.
Cette fois, j'y vais.
Bonne nuit.
En avons profité pour aller faire quelques courses en prévision de la carne asada de demain. Pour eux, c'est tout un rituel. Il faut tout prévoir et tout choisir à la perfection. Un peu comme le choix du melon sur le marché...
Sommes ensuite rentrés à la maison pour repartir quelques minutes plus tard pour Tlaquepaque. Composition de la mauvaise troupe : Antonio (nouveau coloc'), Melisa (une fille qu'il essaie de se faire, pardon, de séduire), Susana (on ne sait décidément pas quand elle part), Emma, Becca (toujours sa sœur), Victor et moi (dans le coffre et le cul dans la lessive à l'aller). Nous sommes retournés dans un restaurant sympa où nous étions déjà allés dîner avec Marine et Daniel (le frère de Carlos, ça fait très feux de l'amour à la mexicaine hein ?). C'est un endroit très typique où ils ne servent que quelques spécialités très bien préparées. Comme il se doit : pozole.
Le serveur était complètement bourré et le perroquet m'a dit "hola". J'estime que c'est une bonne soirée.
Sommes ensuit allés aux tacos où travaille Carlos car c'était une soirée musique. Le groupe : 2 mecs et une nana, tous frères je crois. Age : de 7 à 14 ans il me semble. Assez étrange je dois dire. Enfin, nous n'avons entendu qu'une chanson. Un peu du genre percussions de rue, enfin, ça avait le mérite d'être original.
Re mouvement vers Estacion Central, un pub sympa : blindé. Pas grave, évidemment, tout le monde se connaissait, les salutations ont duré des heures, les discussions ont duré des heures, les adieux évidemment ont duré des heures.
(il est 2:30, je crois que quelqu'un nettoie les vitres)
Putain il est 2:30 du matin et ils sont partis racheter de quoi boire. Quels pochtrons franchement.
Il est 2:30 et je crois qu'il est temps que j'aille dormir.
Ah, après toute chose, ils m'ont enfin donné le thème de mon prochain article : un recueil de poème introuvable sur lequel je ne sais rien et dont l'auteur(e) a un prénom à coucher dehors : Xitlalitl. Je dois le rendre lundi.
Cette fois, j'y vais.
Bonne nuit.