Pourquoi un blog, donc.
Cela fait plusieurs jours que le carnet destiné à devenir un carnet de bord me nargue. Comme c'est le cas pour à peu près 9 personnes sur 10 lors d'un voyage, le carnet de voyage s'impose presque comme une nécessité, comme si l'on n'était pas capable de se rappeler tout ce que l'on a fait. En effet, on doit en oublier une grande partie. Je suppose que ce qui passe "automatiquement" à la trappe est ce qui nous a le moins marqué, ou ce qui reviendra parfois quelques mois plus tard, avec plaisir. Ne gâchons donc pas cela. L'idée n'est pas de TOUT raconter.
Seules quelques pages du carnet ont donc été négligemment griffonnées et remplies de banalités affligeantes qui n'avaient en fait pour unique fin que de me déculpabiliser et de me rassurer, sûrement. Or, tout ce qui se trouve écrit dedans est réellement inintéressant. Et j'en reviens toujours à la même raison : les mots sont faits pour être lus et n'ont en aucun cas ici un but thérapeutique. En bref, rien à foutre de m'écrire à moi-même, je sais bien ce que je pense.
C'est là que le concept du blog prend tout son intérêt, il est ouvert à tous (enfin à ceux qui le veulent) et ne "sert" à rien. Un peu comme l'art, quoi. J'aime ce qui ne sert à rien, en théorie. On peut par définition en faire ce qu'on veut. Ce blog servira au moins à tenir ceux qui auront le courage de me lire au courant de ce que je fais, de ce qui me traverse l'esprit.
J'espère également que le fait d'écrire régulièrement va relancer mon inspiration et peut-être me permettre d'aboutir à quelque chose de concret, dépassant l'étape des idées lancées à l'arrache sur tous les blocs, enveloppes et morceaux (propres) de PQ qui me tombent sous la main. Peut-être cette fois-ci n'écrirai-je pas quelque chose d'absolument ignoble, répugnant et complètement surfait. Let's time speak.
Je ne me donne pas d'objectif, j'écrirai quand je le voudrai.
Ah oui, la question de la langue m'a évidemment fait réfléchir quelques instants. Aussi écrirai-je en français, restons naturelle, mais je traduirai peut-être de temps à autres certaines de mes élucubrations, histoire de prouver aussi que je ne travaille pas pour rien.
J'ai décidé de me tenir à mon engagement (envers moi-même) pour des raisons d'amour propre essentiellement.
A chacun ses défis.
Cela fait plusieurs jours que le carnet destiné à devenir un carnet de bord me nargue. Comme c'est le cas pour à peu près 9 personnes sur 10 lors d'un voyage, le carnet de voyage s'impose presque comme une nécessité, comme si l'on n'était pas capable de se rappeler tout ce que l'on a fait. En effet, on doit en oublier une grande partie. Je suppose que ce qui passe "automatiquement" à la trappe est ce qui nous a le moins marqué, ou ce qui reviendra parfois quelques mois plus tard, avec plaisir. Ne gâchons donc pas cela. L'idée n'est pas de TOUT raconter.
Seules quelques pages du carnet ont donc été négligemment griffonnées et remplies de banalités affligeantes qui n'avaient en fait pour unique fin que de me déculpabiliser et de me rassurer, sûrement. Or, tout ce qui se trouve écrit dedans est réellement inintéressant. Et j'en reviens toujours à la même raison : les mots sont faits pour être lus et n'ont en aucun cas ici un but thérapeutique. En bref, rien à foutre de m'écrire à moi-même, je sais bien ce que je pense.
C'est là que le concept du blog prend tout son intérêt, il est ouvert à tous (enfin à ceux qui le veulent) et ne "sert" à rien. Un peu comme l'art, quoi. J'aime ce qui ne sert à rien, en théorie. On peut par définition en faire ce qu'on veut. Ce blog servira au moins à tenir ceux qui auront le courage de me lire au courant de ce que je fais, de ce qui me traverse l'esprit.
J'espère également que le fait d'écrire régulièrement va relancer mon inspiration et peut-être me permettre d'aboutir à quelque chose de concret, dépassant l'étape des idées lancées à l'arrache sur tous les blocs, enveloppes et morceaux (propres) de PQ qui me tombent sous la main. Peut-être cette fois-ci n'écrirai-je pas quelque chose d'absolument ignoble, répugnant et complètement surfait. Let's time speak.
Je ne me donne pas d'objectif, j'écrirai quand je le voudrai.
Ah oui, la question de la langue m'a évidemment fait réfléchir quelques instants. Aussi écrirai-je en français, restons naturelle, mais je traduirai peut-être de temps à autres certaines de mes élucubrations, histoire de prouver aussi que je ne travaille pas pour rien.
J'ai décidé de me tenir à mon engagement (envers moi-même) pour des raisons d'amour propre essentiellement.
A chacun ses défis.
Eléonore
J'aurais dû y penser, ton âme jounalistique a refait surface, je ne suis pas véxée, je suis sûre que le carnet peut faire un très bon carnet à courses ou à numéro de mini mexicains..
RépondreSupprimerJe pense fort à toi
bisous