Aujourd'hui, j'ai eu un sentiment très bizarre, assez désagréable. J'étais dans le bus, du côté soleil, je rentrais et je me suis mise à penser l'espace d'un instant au retour. Je ne dis pas que je n'ai pas envie de rentrer. Enfin, pas tout de suite évidemment. Mais vu le contexte dans lequel je vis actuellement, peu de choses me motivent à vouloir partir. J'ai donc anticipé la sensation que je pourrais ressentir quand quelqu'un me demandera "Alors, le Mexique ?". Mais c'est justement parce qu'elle est éphémère que l'expérience est aussi géniale.
Ce matin... je me suis réveillée en chantant "I just can't get enough, I just can't get enough". Réminiscence de la soirée à la Marcha (toujours aussi gratuite à l'entrée et toujours aussi bien pourvue en free tequila).
Moi à Marine : "Putain, on n'apprend vraiment pas de ses erreurs..."
Mon état était donc assez pitoyable en cours. Mais après une grosse part de gâteau au chocolat, tout va mieux, enfin presque. Heureusement car ce soir on doit aller dîner dans le fameux Irish Pub...
Je me dis que j'aurais dû faire des examens du foie et des poumons avant de partir pour comparer quand je reviendrai !
La soirée d'hier était vraiment bien chida, on avait proposé Helen (coloc anglaise, allez on suit) de venir. Et moi qui pensais qu'elle était un peu coincée et pas très fan de boîtes... Comme quoi, ne jamais en rester à la première impression, elle a dansé comme une folle. Nous aussi, avec des masques dorés et des colliers de carnaval. C'était soi-disant soirée "Mardi-gras", bon.
Bon, maintenant, pour ceux qui veulent du croustillant, que dis-je, du scoop, du potin, et j'en passe... -non, personne n'a fait des folies (sexuelles) de son corps cette nuit, mais on s'en approche- me suit faite raccompagner en voiture par le photographe des voyages auxquels on participe de vez en cuando. Pour la faire courte, il embrasse très bien. Ca faisait très "date" à l'américaine comme dans les 60s. J'étais donc Olivia Newton John, il faisait Travolta. Sans danser évidemment.
Je n'en dirai pas plus. Pour plus de détails, envoyez-moi un mail.
Je suis rassurée, le bon vieux truc du "j'te mate du coin de l'oeil" (du masque en réalité) marche toujours. Le mec est intéressé, il vient. Enfin, d'habitude ils ne viennent pas.
Au tout début de la soirée, des gros lourds sont venus nous voir. L'un d'entre eux, celui qui me parlait, était très intellectuel. Il m'a demandé : "tu es venu comment au Mexique ?". A poil, normal.
Demain : weeeeeeekeeeeeeend !!!
Alors a ciao.
Que demande le peuple.
Ce matin... je me suis réveillée en chantant "I just can't get enough, I just can't get enough". Réminiscence de la soirée à la Marcha (toujours aussi gratuite à l'entrée et toujours aussi bien pourvue en free tequila).
Moi à Marine : "Putain, on n'apprend vraiment pas de ses erreurs..."
Mon état était donc assez pitoyable en cours. Mais après une grosse part de gâteau au chocolat, tout va mieux, enfin presque. Heureusement car ce soir on doit aller dîner dans le fameux Irish Pub...
Je me dis que j'aurais dû faire des examens du foie et des poumons avant de partir pour comparer quand je reviendrai !
La soirée d'hier était vraiment bien chida, on avait proposé Helen (coloc anglaise, allez on suit) de venir. Et moi qui pensais qu'elle était un peu coincée et pas très fan de boîtes... Comme quoi, ne jamais en rester à la première impression, elle a dansé comme une folle. Nous aussi, avec des masques dorés et des colliers de carnaval. C'était soi-disant soirée "Mardi-gras", bon.
Bon, maintenant, pour ceux qui veulent du croustillant, que dis-je, du scoop, du potin, et j'en passe... -non, personne n'a fait des folies (sexuelles) de son corps cette nuit, mais on s'en approche- me suit faite raccompagner en voiture par le photographe des voyages auxquels on participe de vez en cuando. Pour la faire courte, il embrasse très bien. Ca faisait très "date" à l'américaine comme dans les 60s. J'étais donc Olivia Newton John, il faisait Travolta. Sans danser évidemment.
Je n'en dirai pas plus. Pour plus de détails, envoyez-moi un mail.
Je suis rassurée, le bon vieux truc du "j'te mate du coin de l'oeil" (du masque en réalité) marche toujours. Le mec est intéressé, il vient. Enfin, d'habitude ils ne viennent pas.
Au tout début de la soirée, des gros lourds sont venus nous voir. L'un d'entre eux, celui qui me parlait, était très intellectuel. Il m'a demandé : "tu es venu comment au Mexique ?". A poil, normal.
Demain : weeeeeeekeeeeeeend !!!
Alors a ciao.
Que demande le peuple.
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