Aujourd'hui, nous avons profité du 1er mai (pont ici aussi) pour faire comme tous les Mexicains à cette occasion, c'est-à-dire nous tirer de la ville. Nous ne somme pas allés bien loin: à Chapala, à un "parc aquatique" soi-disant, le fameux Tobolandia, pays merveilleux du toboggan. Mouais. Bon, nous avons bien barboté toute la journée mais ils se foutent un peu de la gueule du monde.
Membres de la troupe: Marine, Helen, Victor, Hugo, Daniel et moi-même. Ambiance forcément sympa avec de tels comparses. J'ai pu constater une fois de plus l'étrangeté mexicaine. Les gens ici, tout en sachant qu'ils vont passer la journée entre une piscine et une autre piscine, viennent sans maillot de bain. Pourquoi faire simple et logique quand on peut se baigner en jogging (si si). Bref, il paraît que ce sont surtout les ploucs qui font ça. Force fut de constater qu'ils étaient relativement nombreux (les ploucs, donc). Il paraît aussi qu'ils font ça pour ne pas trop s'exposer au soleil et ainsi ne pas devenir encore plus brun de peau. Et dire que nous on lutte pour avoir un bronzage de dingue... Y a vraiment des différences culturelles.
En parlant de différences culturelles, il est effectivement très intéressant de fréquenter un autochtone de manière récurrente, on en apprend beaucoup plus sur le fonctionnement du cerveau des gens du pays. Par exemple, à côté de chez nous, il y a une piscine où ils donnent des cours de natation uniquement aux femmes et aux enfants. La raison de cette ségrégation? Ces mateurs de Mexicains ne peuvent pas voir un bout de graisse sans s'exciter comme des fous. D'où les sifflements quotidiens et les pinçages de cul z'éventuels.
Hier soir, nous sommes retournées au Wall Street, un des premiers bars dans lesquels on avait été au début de notre séjour. Au début, seules Helen, Marine et moi devions y aller mais nous avons très vite été rejointes par Victor, Hugo (non, non toujours pas l'écrivain) et Daniel. Nous avons dansé et picolé jusqu'à 3h30 du matin à peu près. C'était très sympa. J'y ai d'ailleurs aperçu le photographe (cf. vous n'avez qu'à suivre)mais R.A.S.
Demain matin, départ à 9h pour Chapala ou plus précisément Ajijic (je vous mets au défi de le prononcer sans avoir l'air d'un con) où nous allons passé les deux prochains jours. Emma nous a trouvé un hôtel super bon marché et avec piscine. A nous le weekend parfait.
Dans un coin de ma tête traîne quelques petits choses chiantes: cette histoire de procédure migratoire TOUJOURS pas réglée, mon rdv de mardi avec le directeur éditorial du Mural et cet examen de merde d'histoire culturelle. J'imagine que la Corona et le chlore de la piscine les feront complètement disparaître de mon cerveau dont les capacités sont déjà bien amoindries par la bière.
Complètement crevée mais pleine d'enthousiasme pour ce qui m'attend, je vous dis à bientôt.
P.S. Petite question interculturelle. Que ceux qui me lisent me décrive leur vision du Mexicain typique en commentaires. Bises.
Membres de la troupe: Marine, Helen, Victor, Hugo, Daniel et moi-même. Ambiance forcément sympa avec de tels comparses. J'ai pu constater une fois de plus l'étrangeté mexicaine. Les gens ici, tout en sachant qu'ils vont passer la journée entre une piscine et une autre piscine, viennent sans maillot de bain. Pourquoi faire simple et logique quand on peut se baigner en jogging (si si). Bref, il paraît que ce sont surtout les ploucs qui font ça. Force fut de constater qu'ils étaient relativement nombreux (les ploucs, donc). Il paraît aussi qu'ils font ça pour ne pas trop s'exposer au soleil et ainsi ne pas devenir encore plus brun de peau. Et dire que nous on lutte pour avoir un bronzage de dingue... Y a vraiment des différences culturelles.
En parlant de différences culturelles, il est effectivement très intéressant de fréquenter un autochtone de manière récurrente, on en apprend beaucoup plus sur le fonctionnement du cerveau des gens du pays. Par exemple, à côté de chez nous, il y a une piscine où ils donnent des cours de natation uniquement aux femmes et aux enfants. La raison de cette ségrégation? Ces mateurs de Mexicains ne peuvent pas voir un bout de graisse sans s'exciter comme des fous. D'où les sifflements quotidiens et les pinçages de cul z'éventuels.
Hier soir, nous sommes retournées au Wall Street, un des premiers bars dans lesquels on avait été au début de notre séjour. Au début, seules Helen, Marine et moi devions y aller mais nous avons très vite été rejointes par Victor, Hugo (non, non toujours pas l'écrivain) et Daniel. Nous avons dansé et picolé jusqu'à 3h30 du matin à peu près. C'était très sympa. J'y ai d'ailleurs aperçu le photographe (cf. vous n'avez qu'à suivre)mais R.A.S.
Demain matin, départ à 9h pour Chapala ou plus précisément Ajijic (je vous mets au défi de le prononcer sans avoir l'air d'un con) où nous allons passé les deux prochains jours. Emma nous a trouvé un hôtel super bon marché et avec piscine. A nous le weekend parfait.
Dans un coin de ma tête traîne quelques petits choses chiantes: cette histoire de procédure migratoire TOUJOURS pas réglée, mon rdv de mardi avec le directeur éditorial du Mural et cet examen de merde d'histoire culturelle. J'imagine que la Corona et le chlore de la piscine les feront complètement disparaître de mon cerveau dont les capacités sont déjà bien amoindries par la bière.
Complètement crevée mais pleine d'enthousiasme pour ce qui m'attend, je vous dis à bientôt.
P.S. Petite question interculturelle. Que ceux qui me lisent me décrive leur vision du Mexicain typique en commentaires. Bises.
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