vendredi 9 juillet 2010

Bon, pour le concours d'affiches, c'est foutu. Ou du moins, non, mais il faudrait que je sois capable de traverser la ville en 16 minutes. Bref, tant pis, ça m'aura occupée pendant deux jours.

Ah, il faut que je vous raconte l'exposition hier. C'était ouvert au public donc Victor a pu m'accompagner. Moi, je flippais comme une malade en voyant les "œuvres", ne sachant absolument pas (et c'est toujours le cas) ce que j'allais bien pouvoir mettre dans mon article. Lui, il s'en tapait et n'attendait qu'une chose : le pot (brindis ici). Comme quoi certaines références sont internationales. Et quand chez nous c'est du mousseux dégueulasse, ici c'est de la bière fraîche. J'ai gagné au change je crois.
Bref, Hugo et Daniel se sont ramenés, ça va ça faisait pas trop squatteurs. On a dû rester une demie heure en tout (25 minutes à boire et 5 à essayer de comprendre ce que cette chère mexicaine voulait bien nous dire en assemblant dans un cercle des bout de pellicule).

Je suis pressée que mon article paraisse. En plus, je crois qu'il vont publier mon nom aussi. Ça peut paraître normal mais au Mural, par exemple, il fallait avoir trois ou quatre mois d'ancienneté pour avoir le privilège de voir son nom sous l'article. Qu'est-ce qu'ils ont bien fait de me virer finalement.

Demain je ne sais pas trop ce qu'on va faire. Il y a le match forcément et dimanche pour la finale, je pense qu'on va se refaire un barbec'. Je crois que c'est une des premières années où j'ai regardé plus de foot que de tennis. J'ai découvert le moyen assuré de m'intéresser au match : parier. Dans le bar où j'ai été voir Espagne-Allemagne l'autre jour, on pouvait gagner des médicaments contre les aigreurs d'estomacs et ce genre de choses. De quoi motiver tout le monde en somme !

Tiens, la copine d'Emma vient de mettre les voiles (pour filer la métaphore, je dirais même plus "bon vent"). On ne peut pas dire que ça m'affecte particulièrement.

Avec Victor, on se prépare un weekend à la montagne, à Mazamitla à une heure et demie de route d'ici. Il paraît que c'est magnifique. Je suis assez enthousiaste. En espérant que la malédiction de Puerto Vallarta ne s'abatte encore sur moi.

Voilà, voilà.

Ah oui, j'ai faim aussi.


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